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Home / Les contenus du médiateur / 44 questions que se posent les associations au sujet du WEB et leurs réponses

44 questions que se posent les associations au sujet du WEB et leurs réponses

— 13 février 2017 0 484

Dans le cadre d’un groupe de travail auquel le médiateur numérique participe, il est apparu que beaucoup d’associations de lutte contre les discriminations reconnaissent être perdues en ce qui concerne le numérique en général et Internet en particulier. Afin de les accompagner au mieux, le médiateur leur a demandé de noter leurs questions sur papier libre et de manière anonyme, afin de pouvoir y répondre à tête reposée.

Plutôt que d’y répondre dans une synthèse, il a préféré répondre à chacune d’elle, quitte à prendre le risque d’être parfois redondant. En fait, pour un spécialiste, les questions posées aussi “stupides” soient-elles sont aussi importantes que les réponses qu’il peut apporter. Elles permettent un état des lieux des représentations, connaissances et problématiques qui se posent aux usagers du net.

Le numérique et internet représentant un vaste domaine où de nombreuses compétences se croisent, il a décidé de s’adjoindre les services de Cyrille Franck consultant média, fondateur de Médiacluture, et cofondateur de Médiacadémie, Quoi.info et Askmédia. C’est donc à 4 mains qu’ils ont essayé de répondre aux questions en restant le plus concis et le moins “jargonnant” possible.

Questions et réponses

1 – Réseaux sociaux

1.1 – Facebook

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    1. Facebook : Découvrir les fonctionnalités de base

    Il existe de nombreux tutoriels pour apprendre à utiliser Facebook. Facebook évolue continuellement et les tutoriels ne sont pas systématiquement mis à jour. Cependant Facebook met à disposition de ses utilisateurs une aide en ligne.

    Comme pour toute chose, la maîtrise des réseaux sociaux est le résultat d’un apprentissage. Donc rien ne saurait épargner les efforts nécessaires pour y arriver. La lecture en fait partie.


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    2. Comment publier un post créé par soi ?

    L’apprentissage par essai/erreur vaut aussi pour les réseaux sociaux. Le meilleur moyen de commencer est de créer un compte et de se lancer. L’interface Facebook est relativement intuitive. En cherchant un peu, il y a forcément moyen d’y arriver.


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    3. Comment améliorer la visibilité de ma page facebook ?

    Les pages permettent aux entreprises, organisations et personnalités publiques d’être présentes sur Facebook. Pour ces dernières c’est même normalement le seul moyen d’y être, les comptes étant réservés aux particuliers.

    Comment vous le savez sûrement, Facebook est une entreprise à but lucratif et son moyen de financement se fait via des publicités. Sans doute avez-vous déjà remarqué des “publications suggérées” depuis votre compte, ou sur votre page en tant qu’administrateur un bouton “Booster votre page” ou “booster votre publication”, cela signifie que pour donner davantage de visibilité à une publication ou votre page, il faut débourser quelques euros. C’est le moyen imparable !

    Cependant, selon les interactions que les utilisateurs ont avec votre page, les contenus qui y sont publiés peuvent être préférentiellement affichés si un utilisateur les consulte souvent, ou si vos publications sont fréquemment consultées par beaucoup de personnes. Aussi l’autre solution est de rendre vos contenus irrésistiblement attractifs ou inciter vos abonnés à cliquer dessus.


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    4. Comment marche le mur de Facebook ?

    Le mur Facebook est la page web sur laquelle on arrive une fois connecté au réseau social. Sur cette page sont visibles vos statuts et les statuts de vos amis. Le mur Facebook n’est pas la diffusion à la queuleuleu de tous les statuts, c’est le logiciel qui sélectionne selon vos préférences et vos habitudes d’utilisation les statuts à afficher. Ainsi il aura tendance à moins vous proposer les publications des personnes avec qui vous interagissez peu.

    En réalité seuls 10% en moyenne des contenus publiés par les éditeurs sont affichés sur les murs des abonnés. Ce tri algorithmique est encore plus drastique pour les marques (4 à 5% environ, pour mieux inciter ces annonceurs à acheter de la publicité Facebook, afin de retrouver une couverture (reach) convenable.


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    5. Un groupe facebook est-il nécessaire pour compléter ma page facebook ?

    Sur Facebook, seul un compte est a priori nécessaire. Il faut bien avoir à l’esprit qu’un compte doit être nominatif. Toutes les organisations, entreprises, associations qui utilisent un compte au nom de leur organisation ne sont pas en règle vis à vis des conditions générales d’utilisation. Leur compte peut donc être fermé à tout moment.

    Pour les organisations, entreprises et associations, nous avons vu plus haut que la création d’une page implique de devoir “booster” les publications pour être sûr qu’elles soient vues.
    Les groupes sont encore autre chose, ils permettent de réunir des personnes autour d’une thématique qui les rassemble. Les groupes peuvent être publics,fermés ou secrets (les caractéristiques des différents groupe sont disponibles ici).

    D’une manière générale, gérer un groupe pour y diffuser les mêmes contenus que sur sa page ne présente aucun intérêt. La combinaison groupe et page doit être réfléchie. Cela s’inscrit dans ce que le nomme pompeusement sa “stratégie internet”. Des discussions que nous avons pu avoir dans le groupe de travail, le recours au groupe peut être pertinent pour partager des informations entre membres d’une même association, entre associations ayant le même objet, ou associations ayant des objets connexes.

    Dans ce cas, il peut être utile, par exemple, pour diffuser et échanger sur des contenus qui auraient tendance à rebuter le grand public, préparer des projets, échanger sur des problématiques qui concernent les militants. Autrement dit,un groupe serait plutôt fait pour le travail, alors que la page sert à communiquer.


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    6. Facebook : Comment l’utiliser sans se retrouver dans des situations scabreuses ?

    Le bon sens est votre guide. Sinon vous pouvez consulter l’aide en ligne pour les paramètres de confidentialité. Ceci vaut pour la protection de la #vie privée.

    Sinon, pour la gestion de communauté, la modération des commentaires et des réactions sur Facebook, il y a 3 règles :

    • – On ne répond pas à chaud (comme pour l’e-mail) pour éviter les excès émotionnels
    • – On ne surenchérit pas sur l’agressivité d’autrui : toujours être, au contraire, très en deçà, pour désamorcer le conflit, comme dans la vie “physique”. Ex : “vous êtes vraiment une immonde crapule, menteuse et de mauvaise foi, à vomir!” réponse possible : “je vous trouve un brin excessif et vindicatif haha, tâchons d’échanger des arguments plutôt, voulez-vous ? En quoi me trouvez-vous de mauvaise foi ?”
    • – On ne relance pas les “trolls”, les saboteurs de conversation. Laissez la médiocrité où elle est et laissez la communauté gérer ces abus par auto-modération.

 

1.2 – Twitter

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    7. C’est quoi Twitter ?

    Comme facebook, Twitter est un réseau social, c’est à dire qu’il permet de publier et partager des informations, et de répondre aux contenus qui y sont diffusés. La particularité de Twitter est que le corps des messages ne peut excéder 140 signes (si initialement sur Facebook ils étaient limités à 500 signes, les statuts sont maintenant illimités). De fait Twitter est surtout utile pour partager horizontalement des hyperliens via les retweets (RT), alors que Facebook favorise une communication davantage verticale, notamment via les commentaires.


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    8. Twitter est-il utile ? Comment ça marche ?

    Twitter par rapport à Facebook serait plutôt un messager. Le fait que le nombre de caractères y soit limité favorise la synthèse. Le réseau permet de parcourir plus rapidement un grand nombre d’informations : c’est un outil de veille et d’information très efficace. Twitter réduit automatiquement la taille de l’hyperlien vers l’article ou le site ajouté à un 23 caractères, maximum. Les photos comptent pour leur part pour zéro caractère, ce qui permet d’illustrer son tweet, sans amputer le propos.

    La face immergée de l’iceberg Twitter, c’est toutefois les relations interpersonnelles que l’on tisse progressivement avec les autres membres de la communauté. C’est un outil très puissant de réseautage ! Et grâce aux listes Twitter, un carnet d’adresses spécialisé, très utile. On peut en effet ranger ses abonnements dans des listes qui permettent d’afficher par défaut l’ensemble des tweets de cette liste, pour filtrer son flux sur les critères que l’on a choisi (liste : scientifiques, droit, économistes etc.)


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    9. Twitter : Qu’est-ce que c’est ?

    Twitter est un réseau social, dit aussi de microblogage parce que les messages échangés sont courts. Mais l’objet de Twitter a changé comme sa signature : “what are you doing ?” est devenu what’s happening ? ». Ce n’est plus tant de l’expression de la subjectivité individuelle qu’un outil pour diffuser de l’info chaude ou froide, et réagir, en second lieu seulement, sur cette info.


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    10. Un tweet, quel intérêt ?

    L’intérêt d’un Tweet est de partager de l’information. Sinon le fait que le message soit court impose un effort de synthèse. De fait, il est possible d’en avoir une utilisation ludique, voire poétique. Par exemple Bernard Pivot y excelle.

    C’est aussi un instrument pour créer du lien, s’amuser et prendre plaisir (voir les commentaires décalés en direct sur les émissions de télé), les humoristes et amuseurs 2.0 qui regorgent d’esprit et d’humour (ex: @ouimenon).

 

1.3 – Autres questions

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    11. Les autres réseaux sociaux

    Bénéficier d’une visite guidée : Il y en a vraiment beaucoup. Pour en comprendre le fonctionnement le mieux est de créer un compte et de les tester. Sinon, il y existe une presse spécialisée qui publie beaucoup à ce sujet, comme par exemple Numerama, FrenchWeb, Presse-citron et bien d’autres encore…

    Leurs spécificités : C’est variable et dépend des plateformes. Il est difficile de donner une réponse univoque.

    Leur potentiel : Le numérique cherche encore son modèle économique. Mis à part Facebook, Linkedin et Instagram, leur pérennité est sujet à interrogations (le pire étant probablement Twitter, qui a levé beaucoup d’argent et en rapporte peu, ce qui le met en position difficile).

    Leur efficacité : Cela dépend beaucoup de la manière de les appréhender, des ressources dont on dispose et de l’envie de s’y coller.


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    12. Il existe plusieurs « réseaux » : Peut-on les utiliser simultanément ou doit-on intervenir sur chacun d’entre eux ?

    Des solutions comme Buffer ou Hootsuite permettent depuis une même interface de publier sur plusieurs réseaux sociaux en même temps. Hootsuite permet aussi de lire plusieurs listes et réseaux à la fois (sans même diffuser), ce qui est un atout considérable. IFTT permet également d’interconnecter beaucoup de choses entre elles : des sites, blogs, réseaux sociaux entre eux.

    D’une manière générale, on ressent quand une personne utilise des solutions automatiques pour gérer ses publications, et cela peut-être rédhibitoire pour certains. Il arrive aussi souvent surtout dans le cadre d’un usage professionnel de suivre les mêmes personnes sur différents réseaux sociaux. Pour éviter la lassitude des internautes, il est préférable de réfléchir à une stratégie pour chaque réseau social. Par exemple Twitter pour la veille informationnelle, Facebook pour les échanges, etc.


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    13. Snapchat est-il utile pour une association ?

    Pour une association qui organise beaucoup d’évènements, qui se déplace et qui souhaite communiquer par l’image, Snapchat peut être intéressant à utiliser, notamment parce qu’on y retrouve un public jeune. Cependant, l’application introduit une nouvelle façon de communiquer et amorce une sorte de retour à la messagerie privée. Aussi, il favorise une communication suivie entre ses utilisateurs, et s’il peut s’avérer très utile pour le renforcement des liens dans une communauté, il nécessite qu’on y investisse du temps.
    Par contre pour la communication à grande échelle, il n’est pas l’outil le plus adéquat.

    Snapchat est donc très fort pour communiquer auprès des 12-25 ans, à condition de maîtriser les codes de ces tribus, de proposer des formats courts ludiques, décalés sous formes de “Stories”. Cependant tous les sujets ne s’y prêtent pas, mais le réseau social est intéressant pour rallier des publics qui abandonnent les canaux traditionnels d’information.


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    14. Quels sont les réseaux sociaux les plus répandus et efficaces ? Pour des messages plus « politiques » ? Google groupe pour des collectifs ?

    Comme l’outil ne fera jamais l’ouvrier, le réseau social social ne fait pas ses membres. En termes de statistiques ce sont Facebook, Youtube et Instagram qui drainent le plus d’abonnés donc c’est là qu’on risque de trouver le plus de personnes. En matière de réseaux sociaux Google n’a jamais réussi à stabiliser son modèle, et à force d’essais et d’erreurs les solutions qu’il propose sont devenues en quelque sorte illisibles.

    Par ailleurs, les réseaux militants sont généralement adeptes des logiciels libres et ont développés leurs propres outils, leurs propres réseaux sociaux. De fait, il est assez difficile de répondre à cette question. La seule chose qu’on peut dire, c’est que pour toucher un large public mieux vaut se trouver sur le même réseau que lui (suivant âge, CSP, usage…). Sinon, il existe pléthore de réseaux sociaux, plus ou moins fréquentés, plus ou moins libres, avec plus ou moins de fonctionnalités. Là encore, il faut réfléchir à la stratégie numérique que l’on veut mettre en place, et tester divers outils jusqu’à trouver celui ou ceux qui conviennent.


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    15. Connaître/découvrir WhatsApp

    WhatsApp serait plutôt une messagerie privée, comme Skype ou Facebook Messenger. Il est très prisé par les jeunes mais concerne des conversations privées. Facebook Messenger et WhatsApp sont très puissants, mais reste à inventer les modes de communication auprès des usagers. Entre spam intrusif et service réel.


1.4 – Général

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    16. A quelle(s) heure(s) publier sur les réseaux sociaux (facebook, twitter) pour maximiser le nombre de likes ?

    Il y a beaucoup d’études sur le sujet, et il est difficile de donner une réponse qui fasse l’unanimité. Tout dépend du service rendu et du réseau social. Facebook et Twitter offre une courbe d’usage de leurs propres utilisateurs (analytics.twitter.com et onglet statistiques sur les pages Pro de Facebook). La question est de publier le bon contenu suivant le mode de vie du récepteur et de sa disponibilité mentale. Envoyer une longue analyse géostratégique en 14 pages le matin entre 7h et 9h, n’est probablement pas le bon moment. Mieux vaut tenter le soir après 20 heures, quand on se recentre sur soi et ses passions. Mais tout dépend des publics, et des usages…

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    17. Confidentialité des publications

    Une publication confidentielle a pour vocation d’être lue par des personnes déterminées à l’avance. Il est possible dans un site de sécuriser une partie du site par un mot de passe, sur les réseaux sociaux de créer des listes, et sur Facebook en particulier des groupes.

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    18. Création d’un compte : se faire passer pour quelqu’un d’autre ?

    Effectivement c’est possible, et répréhensible par la loi.

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    19. Multiplier les réseaux sociaux pour une même institution : productif ou contre-productif ?

    Cela peut être productif comme contre contre productif, tout dépend du temps, de l’énergie et des ressources que vous comptez déployer. Être pour y être ne sert à rien, par contre multiplier les flux pour mieux toucher différents publics peut-être intéressant. Par exemple, il peut être judicieux, par exemple, de réserver Twitter pour une communication à destination d’autres militants de lutte contre les discriminations, et Facebook pour une approche grand public). Mais la questions est surtout de faire moins pour faire mieux. Si vous n’avez le temps de bien diffuser (avec respect des interactions, qualité des accroches etc.) que sur un seul réseau, choisissez le plus important !

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    20. Outils de veille pour collecter ce qui se publie sur les réseaux ?

    Il existe de nombreux outils de curation et tous n’offrent pas les mêmes fonctionnalités. Les plus utilisés sont Pinterest, scoop.it, et storify. Après selon vos besoin l’un ou l’autre sera certainement le mieux adaptés. Le site “Les outils de la veille” en recense de nombreux, les fonctionnalités y sont expliqués simplement. Vous devriez pouvoir y trouver votre bonheur.

    Et comme nous l’avons déjà évoqué plus haut il est possible d’utiliser les listes Twitter que l’on peut associer à une application comme Hootsuite, et une comme Nuzzel qui génère des newsletters.


2 – Mails

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    21. Est-il possible d’envoyer une vidéo par mail ?

    La réponse est oui ! Par contre il faut faire attention à son poids. Pour les fichiers trop volumineux, il est toujours possible d’utiliser des solutions comme WeTransfer.

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    22. Taille d’un fichier pour l’envoi par mail ?

    Cela dépend du fournisseur que vous utilisez. Pour Google la limite est de 25 Mo. Généralement quand un fichier est trop volumineux on est rapidement averti. Comme pour la question au dessus, il est possible d’utiliser une solution comme WeTransfer.

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    23.Comment envoyer des centaines de mails sans être bloqué d’un point de vue technique ? (nombres d’envois limités)

    Si vous envoyez trop de mails d’un coup votre fournisseur d’accès ou celui de vos destinataires risquent de considérer votre mail comme un spam. Il existe des solutions comme MailJet. La plupart sont payantes mais proposent certaines fonctionnalités gratuites. Sur MailJet par exemple vous serez limités à 200 destinataires par jour. Donc à moins de payer, il vous faudra fractionner vos envois en plusieurs fois.

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    24. Sans être bloqué comme spam ?

    Idem que la réponse au-dessus.

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    25. Comment faire en sorte que l’image soit insérée dans le corps de texte d’un mail et visible du destinataire ?

    Cela dépend de la solution que vous utilisez. Avec une adresse en Gmail, Outlook ce sera assez simple. Avec par exemple la poste ça sera plus compliqué.

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    26. Une idée pour récupérer efficacement les adresses mails grâce à des posts sur les réseaux sociaux ?

    Laisseriez-vous quiconque récupérer les adresses des internautes qui visitent votre site ? Les réseaux sociaux non plus. D’ailleurs, il y a de fortes chances que la CNIL s’y oppose.


3 – Environnement web

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    27. Dénonciation de propos (homophobe, antisémite, etc.)

    La plupart des plateformes permettent de signaler des contenus calomnieux ou diffamatoires avec, il est vrai, plus ou moins de sérieux selon les cas. Cependant le gouvernement à mis en place la plateforme PHAROS (Plateforme d’Harmonisation, d’analyse, de Recoupement et d’Orientation des signalements). L’adresse est la suivante : www.internet-signalement.gouv.fr. En plus de pouvoir signaler un contenu vous trouverez toutes les informations utiles.

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    28. Message internet et surveillance policière

    A moins de trainer sur des sites djihadistes ou pédophiles, ou d’échanger avec eux, ils y a peu de chances d’être inquiété ou surveillé.

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    29. Communication d’un événement

    Internet : Il y a les événements Facebook, de nombreux sites d’agendas ou médias locaux. Il est aussi possible de créer des visuels, d’écrire des articles sur son site, blog, etc.

    Dans la rue (affichage, tract) : Euh ? Comment dire ? Les questions concernent internet. Cependant vous pouvez utiliser les mêmes visuels pour les deux.

    Efficacité, impact : C’est variable. La communication est un métier. A défaut de pouvoir s’offrir les services d’un professionnel, il faut apprendre à communiquer et y consacrer le temps nécessaire.

    D’une manière générale, mieux vaut multiplier les espaces de diffusion et se constituer un réseau de diffuseurs. Et, on a beau être à l’heure d’internet, les communiqués de presse remplissent encore leur fonction.

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    30. Comment créer un site internet rapidement, sans effort ?

    Logiciel : Sans effort, on ne crée jamais rien de valable ! Aussi tout dépend de ce que l’on entend par effort. Des systèmes de gestion de contenu (CMS) comme wordpress ou joomla sont relativement simples à mettre en oeuvre. Il faut cependant louer un espace chez un hébergeur comme OVH.
    En choisissant cette option, il faut cependant prévoir de se familiariser avec l’administration, les sauvegardes, etc.

    Site en ligne : Il existe de nombreuses solutions en ligne. WordPress possède la sienne. La solution est gratuite par contre pour bénéficier de son propre nom de domaine c’est payant.

    Wix est une autre solution. Par contre le médiateur numérique ne l’a jamais testée.

    Et pouvoir l’alimenter facilement : Une fois créé, avec un CMS c’est très facile d’alimenter un site, enfin techniquement. Pour le contenu mieux vaut avoir de l’inspiration et de technique rédactionnelle, mais ça n’a rien à voir avec l’informatique.

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    31. Création de pétitions : comment avoir les adresses mails des signataires ?

    Les bases de données d’utilisateurs sont le fond de commerce des sites de pétitions. Croyez-vous vraiment qu’ils vont les mettre à disposition ?

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    32. Quels sont les sites les plus sûrs pour créer des listes ?

    Des listes de quoi ? Des listes pour quoi faire ? Le plus sûr qui soit est sur son disque dur non relié à internet. Sinon, il existe des connexions cryptées, des clouds privés, etc.

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    33. Comment rendre plus visible/inévitable une information publiée sur un site ?

    L’optimisation pour les moteurs de recherche aussi appelé SEO (search engine optimization) est une technique pour optimiser le référencement des articles des sites web.

    Ces techniques peuvent être très poussées. Pour faire au plus simple, on peut dire que le titre et le chapô des articles doivent comporter les mots-clés essentiels à la recherche. Par exemple : “Agression homophobe à Metz” plutôt que “Les fachos ont encore frappé”.

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    34. Comment rendre un site plus visible ?

    En quelques années le webmarketing et le community management sont devenus des métiers à part entière. Il est donc difficile en quelques lignes de donner la réponse qui marchera à coup sûr. D’une manière générale, on peut dire qu’ils faut chouchouter son réseau d’abonnés. Et pour ce faire, les contenus de qualité sont un gage de fidélisation de l’audience.

    Pour trouver de nouveaux lecteurs, il faut aussi savoir que pour que les moteurs de recherches repèrent les pages que vous publiez, il faut que le contenu de votre site soit fréquemment renouvelé, de nouveaux articles régulièrement mis en lignes et souvent consultés, sans oublier de soigner votre SEO.

    Et ne pas négliger la diffusion sur Facebook, Youtube, Linkedin, Instagram et Twitter… Le trafic généré sur les Réseaux Sociaux a dépassé celui provenant de Google.

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    35. Comment améliorer le référencement de mon site internet ?

    L’époque du référencement manuel est révolue. La réponse est une conjugaison des facteurs comme la popularité du site (nombre et qualité des liens vers soi, viralité sociale), affinité et “qualité” du contenu (longueur, richesse lexicale, mots clés demandés par les lecteurs = qualité de la titraille), recirculation interne, nombre d’articles, ancienneté du site, aspects techniques (vitesse chargement, responsive design…)

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    36. A quelle fréquence faut-il renouveler un site « viral » pour qu’il soit efficace ?

    Il vaut mieux soigner le fond et la forme de ses contenus afin de séduire des lecteurs fidèles et intéressés que de se lancer dans la course à l’audience. Cibler ses lecteurs est aussi important, des militants n’ont pas les mêmes attentes que le grand public qui peut ne souhaiter que se tenir informer.

    Il faut aussi se dire que l’on est pas le seul à publier sur internet. Que les internautes sont sollicités de toutes parts par des offres de contenus, et que sur le long terme seuls les contenus de qualité retiendront leur attention. Aussi, pensez à ce qui peut intéresser votre public avec par exemple des infos pratiques, communautaires, de compréhension, de divertissement…

    Pour résumer, tout dépend du temps et des ressources dont vous disposez. Il vaut mieux faire peu mais bien, que beaucoup mais bâclé.

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    37. Comment créer des vidéos attractive avec mon téléphone ?

    Dans ce registre l’imagination prime sur la technique, quoique les YouTubers qui cartonnent utilisent les même techniques narratives codifiées. Là aussi, tout dépend du public que l’on cible.

    D’un point de vue purement technique, les applications Iphone (iMovie) et Ipad sont un peu mieux que celles conçues pour Androïd. Mais arrêtons de vouloir refaire de la TV sur mobile. Formats courts en cuts surtitrés sont très efficaces. Tout est dans la narration et la concision : faites gagner du temps à vos spectateurs ! ça c’est le service ultime !

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    38. Est-ce que tout peut passer sur Youtube ?

    Comme pour tous les réseaux sociaux, la censure est plutôt sélective. Il sera plus facile de faire supprimer des contenus à caractère sexuel que des contenus racistes, sexistes, homophobes… Cela vient du fait que la plupart des plateformes sont américaines, pays où la liberté d’expression est inscrite dans le premier amendement.

    Par contre, la violation du droit d’auteur est le meilleur moyen de se voir refuser la publication d’un contenu.

    Cependant, Faites aussi attention au droit français ! Insulte, diffamation, injure, droits d’auteur sont sanctionnés ici aussi…

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    39. Y a-t’il un lien entre les réseaux sociaux et un/des sites internet ?

    Un réseau social est un site internet qui permet de partager le contenu d’autres sites internet, même si les frontières s’effacent. Par exemple, Medium est à la fois une plateforme de blog et un Réseau social, tout comme la fonction publier dans Linkedin, ou Instant Articles dans Facebook.

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    40. Sur internet, le clic/nombre de vue est-il plus important que le contenu ?

    Si l’on veut fidéliser ses lecteurs mieux vaut privilégier le contenu. Par contre si l’on veut amener beaucoup de personnes sur son site le nombre de clics est primordial. Un site qui a beaucoup de clics sera mieux classé dans les moteurs de recherche.
    Cependant, il vaut mieux privilégier l’affinité à la quantité. Pour suivre cela il faut étudier les statistiques, et prendre en considération le temps passé, la récurrence de visite, le nombre pages/visite, le nombre et qualité des commentaires…

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    41.La viralité est-elle la conséquence d’une simplicité de contenu ?

    Pas forcément. Il vaut mieux parler de lisibilité que de facilité. D’une manière générale, il vaut mieux éviter de mettre trop d’idées dans un même article. Par contre, la manière d’organiser ses idées, de les synthétiser, de les présenter (en utilisant des infographies par exemple) peut en dire tout autant qu’un long article au style “ampoulé”.

    Ainsi, il vaut mieux parler de densité d’infos que de longueur. On peut faire long si et seulement si la qualité est au rendez-vous de manière constante : pas de dilution ! Mais il faut parfois faire long pour bien expliquer… l’équilibre est difficile à trouver, il vient avec ce que l’on appelle le talent et l’expérience.

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    42. Quels sont les sites/logiciels les plus éthiques/libres ?

    Le problème des logiciels libres, c’est que si beaucoup sont croyants peu sont réellement pratiquants. Des listes comme celle-ci existent. Cependant force est de constater qu’avec l’arrivée de HTML5 les solutions libres sont devenues quelque peu vieillotte.

    Parlons de doodle (pour les rendez-vous) et de Framasphère (réseau social libre)
    Doodle n’est pas libre, mais comme la plupart des plateformes et applications, il propose une partie freenium, c’est à dire une utilisation gratuite avec des fonctionnalités restreintes. Pour bénéficier de la totalité des options, il faut souscrire à la formule payante.

    Framasphère est sans doute plus éthique et responsable mais le fait est que la plupart des internautes se trouvent sur Facebook et autres.

    Au final, les partisans des logiciels libres rencontrent les mêmes limites que les autres formes de militantisme. Ils se retrouvent bien souvent à n’interagir qu’entre déjà convaincus.

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    43. Comment se fait-il qu’une vidéo/interview qui met le FN en valeur apparaisse sur YouTube lorsque j’y cherche des choses n’ayant rien à voir ?

    C’est la magie des algorithmes. Ces contenus étant généralement les plus vus, par les partisans comme par les détracteurs, le système de calcul les interprète comme étant populaires et donc les met en avant des ses suggestions.

    De plus les partisans d’une cause étant bien souvent plus actifs, ils ne rencontrent pas la concurrence des contres-discours.

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    44. Pourquoi l’extrême droite/les racistes sont-ils meilleurs sur internet ?

    Les “extrêmes” d’une manière générale sont bons sur le web, car ils sont plus politisés que la moyenne et donc plus “motivés” (les partisans de Mélenchon sont très bons aussi). Ils se donc organisés mieux et plus tôt. Ils sont aussi dans une dynamique offensive et sont donc plus bruyants.

 

En guise de conclusion

Internet et le numérique pour être des espaces virtuels ne sont désincarnés pour autant. Ils se sont, certes rapidement, implantés dans nos vies et font dorénavant intégralement partie de notre monde. Aussi, comme tout espace social, il y a des codes, des usages, des règles, etc. Autant de choses qu’il faut connaître pour y évoluer et s’épanouir. Comme tout espace où des humains évoluent et échangent, il y a des apprentissages techniques nécessaires, mais aussi des comportements à adopter. A l’instar de l’#enfant qui vient au monde, l’internaute a des compétences à acquérir et une socialisation à accomplir. Les échanges et la réciprocité en font partie. Ainsi, si chacun souhaite être lu, “liké”, si chacun souhaite qu’on partage ses publications ou qu’on y laisse des commentaires, il faut se dire que l’individu de l’autre de côté de l’écran se trouve dans la même situation.

Il faut également avoir à l’esprit qu’aucune cause, aussi noble soit-elle, ne justifie qu’on y adhère systématiquement, surtout sur internet où les causes à défendre se retrouvent en concurrence (par exemple les sites de pétition en ligne qui permettent de s’engager pour tout et son contraire). L’engagement et le militantisme fonctionnent désormais comme un marché, où l’offre peut être supérieure à la demande. Dès lors que tout se vaut, plus rien ne vaut. Il devient alors de plus en plus difficile de capter l’attention. Sur Internet se joue une véritable guerre de l’attention dont les internautes sont les soldats.

Aussi, en tant que diffuseur faut-il guider ses lecteurs et les prendre par la main. Mais contrairement à un livre, internet n’a pas de fin. Aussi, l’accompagnement doit-il se faire sur la durée et dans des temps morcelés. Ce n’est que cela la constitution d’une audience, d’une marque ou d’une réputation. Ne surtout pas croire les articles racoleurs qui pullulent sur le net et vous promettent des « like » à tour de bras, et une réussite clé en main.

Projet soutenu par la DILCRAH et la Ville de Metz

Mots-clés : Enfant, Vie privée
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